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  •  : Le cordon ombilical :
    Aux environs de 4 mois, 4 mois1/2 votre Bébé commence à bouger, plus ou moins selon ses activités. Ainsi , il fait mille tours et détours dans l'utérus. Il est relié au placenta, sorte de "buffet" ouvert en permanence le jour comme la nuit. Et c'est le cordon ombilical qui assure ce lien indispensable à son développement. Il est constitué de trois vaisseaux sanguins, deux petites artères et une veine. Ces trois vaisseaux sont entourés d'une substance qui les protège, et le tout est contenu dans une membrane transparente. Imaginez alors que le cordon est une sorte de "tuyau" à l'intérieur duquel circule dans un sens, le sang venant de la mère et dans l'autre, le sang venant de son enfant. Ce sont des échanges permanents qui se font jusqu'à la naissance. Forcément, pendant tout ce temps, le bébé par ses mouvements peut appuyer dessus avec ses pieds, ou le prendre dans une main, une ou plusieurs fois par jour ! Et en plus, il fait de multiples sauts périlleux arrière et avant, et autant de cabrioles. Il peut donc se retrouver avec son cordon disposé comme un collier, une écharpe, une bretelle, une ceinture ou même un bracelet. Le collier, qui s'appelle un "circulaire" dans le langage obstétrical, peut se composer de plusieurs rangs. Bien entendu , dans ses positions insolites qui sont loin d'être rares, le cordon continue d'assurer les échanges indispensables. Car sa consistance est ferme et bien tonique et il flotte dans le liquide amniotique. Ce dernier a d'ailleurs un rôle protecteur du cordon. A l'occasion d'une échographie on peut voir le cordon, mais pas toujours. Et le voir dans son entier relève de la gageure ! C'est impossible. Il se peut cependant que durant l'accouchement, les sages-femmes ou les obstétriciens devinent ou imaginent qu'un cordon a pris une de ces positions hétéroclites. Comment ? En regardant tout simplement l'enregistrement du rythme cardiaque du Bébé. Il montre, mais pas toujours, des variations de son rythme, qui peuvent être fréquentes ou isolées au cours du travail. Et ce n'est qu'au moment même de la naissance qu'ils pourront enfin voir le collier, le bracelet, l'écharpe, ou la bretelle. Et puis quelquefois on ne voit rien du tout ! Et d'autres fois encore le bébé vient au monde avec son cordon dans la main ou autour d'un pied ou encore dans le pli du coude sans que jamais on n'ait pu le deviner avant ! C'est alors une découverte de toute dernière minute !
  •  : Recommandations officielles concernant le traitement hormonal de la ménopause :
    ANAES / AFSSAPS / 11 mai 2004 DOUZE MESSAGES CLÉS À DESTINATION DES FEMMES 1. La ménopause n'est pas une maladie ! Le THS est par contre un médicament. Il a des indications, des contre-indications et des effets indésirables. Il doit être prescrit pour une durée limitée ; en pratique, 2 à 3 ans sont en moyenne suffisants (discutezen avec votre médecin !). 2. Le THS est le traitement de loin le plus efficace contre certains troubles qui peuvent survenir à la ménopause, telles les bouffées de chaleur, la sécheresse vaginale et les sudations nocturnes. Il ne s'agit pas d'une panacée dans la lutte contre le vieillissement, il ne répondra pas dans ce cas à toutes vos attentes. Il n'a, en particulier, pas d'effet protecteur sur les troubles cognitifs et le risque de démence. 3. Le THS est efficace pour la prévention de certaines fractures à la ménopause. Les fractures sont cependant peu fréquentes avant 60 ans et des alternatives thérapeutiques peuvent vous être proposées. Discutez-en avec votre médecin ! 4. Si vous avez besoin ou souhaitez prendre un THS à base d'œstrogènes seuls, sachez que, sur la base des données actuelles, ce traitement ne semble pas augmenter le risque de cancer du sein mais que par contre vous serez exposée à un risque cardio-vasculaire et un risque de cancer de l'endomètre accrus. Discutez-en avec votre médecin ! 5. Si vous avez besoin ou souhaitez prendre un THS combinant œstrogènes et progestatifs, vous éviterez le surcroît de risque de cancer de l'endomètre et pourriez réduire le risque de cancer colorectal mais serez exposée à un risque augmenté de cancer du sein et de risque cardio-vasculaire. Discutez-en avec votre médecin ! 6. Si vous avez eu une hystérectomie, il est inutile de prendre un traitement œstroprogestatif, un traitement par œstrogènes seuls est suffisant. Vous pourriez sinon vous exposer à un surcroît de risque inutile de cancer du sein. 7. Si vous ne présentez pas de facteur de risque particulier, les experts considèrent que ces surcroîts de risque ne remettent pas en cause la prescription d'un THS dans le traitement de certains troubles de la ménopause tels que bouffées de chaleur, sécheresse vaginale ou sudations nocturnes. Discutez-en avec votre médecin ! 8. Nous attirons votre attention sur le fait que ne pas prendre de THS, ne vous fera pas éviter tout risque de cancer ou tout risque cardio-vasculaire. Les cancers du sein ou de l'endomètre et les accidents cardio-vasculaires surviennent aussi chez des femmes qui n'ont jamais pris de THS. 9. Si vous avez arrêté un THS, vous ne courez plus de risque cardio-vasculaire supplémentaire. De même, le surcroît de risque de cancer du sein aura disparu dans les 5 ans après l'arrêt de votre traitement. 10. Pour éviter les problèmes, le meilleur suivi consiste à la consultation régulière de votre médecin (par ex. 2 fois par an) en vue d'un examen gynécologique et à la participation tous les 2 ans au programme de dépistage du cancer du sein par mammographie. 11. Nous attirons votre attention sur le fait que les dérivés du soja, et plus généralement les phyto-œstrogènes, s'ils peuvent avoir une action sur les bouffées de chaleur, peuvent présenter les mêmes risques que les œstrogènes ! La fiabilité de ces produits n'est pas garantie et leur sécurité n'a pas été évaluée. Nous vous déconseillons donc d'en prendre pour le traitement de vos troubles, tant qu'ils n'auront pas reçu l'autorisation des autorités sanitaires. 12. Si vous désirez des informations complémentaires, n'hésitez pas à consulter votre médecin ou bien rendez-vous sur le site Internet : « www.XXX.fr » (site à créer) ou encore téléphonez au 08 20 00 00 00 (accueil téléphonique à créer). Un médecin vous répondra.
  •  : Contractions normales/anormales :
    Les contractions "normales" de la grossesse Leur nombre et leur "style" est différent de celles que l'on doit redouter. On peut ressentir près de 10-20 contractions par jour et ne pas avoir à s'en inquiéter. Elles sont prévisibles, normales et ont été décrites par des médecins, dont elles portent le nom désormais, Braxton-Hicks. Qu'est ce qui les distingue des contractions inquiétantes ? Elles ne sont pas douloureuses, la tension est ressentie mais pas la douleur. Elles sont irrégulières, deux trois d'affilée puis plus rien pendant une à deux heures. Celles de la menace d'accouchement prématurée sont douloureuses et régulières. Des petits signes supplémentaires sont là qui n'existent pas quand il s'agit de contractions normales : l'envie d'aller uriner plus souvent, l'utérus qui paraît plus petit, plus ramassé et des sécrétions vaginales exagérées attention, ce signe seul, est sans valeur. La menace d'accouchement prématurée peut aussi prendre le visage d'une tension excessive, permanente presque, du muscle utérin.
  •  : Listériose et grossesse :
    La listériose est une maladie, qui passe le plus souvent inaperçue, mais qui peut être à l'origine de troubles graves, particulièrement chez la femme enceinte, dont le germe responsable est Listeria monocytogenes. Les symptômes de la listériose ne sont pas spécifique. Une fièvre persistante, quelques courbatures, des maux de tête, un embarras gastrique fait de nausées, vomissements et diarrhée peuvent être les seuls symptômes de la maladie ou préfigurer la survenue de complications telles une septicémie, une méningite, une atteinte ftale ou une issue fatale. Les très jeunes enfants, les vieillards et les personnes à l'immunité défaillante sont les plus exposées au risque fatal. La femme enceinte peut très bien présenter une forme fruste mais voir son ftus atteint beaucoup plus gravement. Les premiers symptômes surviennent sans doute au delà de 12 heures après l'ingestion du produit contaminé mais les complications ne se produiront que plusieurs jours après, jusqu'à huit semaines de l'infestation. Le germe est sensible aux antibiotiques mais il a été indiqué par les autorités sanitaires qu'il n'y avait pas lieu de recommander une antibioprophylaxie aux personnes ayant pu consommé un aliment contaminé mais qu'ils devaient consulter sans délai devant lapparition de fièvre, isolée ou accompagnée de maux de tête, survenant dans les deux mois qui suivent la consommation de l'aliment contaminé. Pour en savoir plus... se protéger Qu'est ce que c'est ?
  •  : Dosage hormonal pour diagnostiquer la ménopause ? :
    Les dosages hormonaux sont, en général, inutiles pour le diagnostic de la prochaine venue de la ménopause. C'est la clinique qui prime. C'est à dire qu'on le fait en écoutant et en examinant la patiente. Mais alors, direz vous quand est ce qu'on a besoin des dosages ? D'abord un mot sur les dosages. Les ovaires sécrètent des oestrogènes sous l'ordre de l'hypophyse qui les stimule à l'aide d'une hormone appelée FSH. La ménopause, c'est l'épuisement complet des ovaires, donc l'arrêt de sécrétion des oestrogènes. Auparavant, les sécrétions vacillent sans s'effondrer. Parallèlement, l'hypophyse cravache pour les maintenir et la FSH augmente. Donc pas d'intérêt pour les oestrogènes, qui oscillent trop. On peut prescrire un dosage de la FSH quand on hésite. Si la patiente n'a plus d'utérus. Il a été retiré. Si la patiente était sous pilule. Il faut interrompre la prise et faire prélever près de vingt jours après.
  •  : Constipation et grossesse :
    Il faut boire parce que l'eau que vous buvez hydrate les fibres que vous mangez. Fibres et eau. C'est le couple salvateur. Il faut donc aussi avoir des fibres dans son alimentation. Tous les légumes en contiennent. Le pain au son, les petit déjeuners type fruit and fibre.. Voilà pour le contenu, reste la manière : Il faut aller à la selle dès qu'on en ressent le besoin. Quand on ne répond pas à l'appel de la selle, elle reste dans le rectum et elle perd son eau. Elle s'assèche. Quand on tente de la sortir, comme elle ne se moule pas facilement, elle ne sort pas. Quand enfin on parvient à l'éliminer, on a ,tout de suite après, des selles très molles. Ce sont celles qui attendaient dans le côlon et le sigmoïde et qui n'ont pas eu le temps de durcir un peu. Il s'installe donc une alternance de diarrhée et de constipation.
  •  : Les risques d'une grossesse entre consanguins :
    Fort heureusement, l'enfant issu de consanguins ne sera pas automatiquement anormal. D'où vient il qu'il risque un peu plus que d'autres de présenter des anomalies congénitales ? Nos chromosomes sont formés de deux chaînes, composées de gènes comme un collier est composé de perles. Elles nous viennent chacune d'un de nos parents. Les chaînes sont disposées en parallèle. Situés face à face, des gènes qui codent, ensemble, pour une fonction. Voilà, on a tous des gènes, des bons, c'est à dire qui codent pour des fonctions normales et des mauvais, qui codent moins bien pour ces fonctions, avec un risque que celles ci ne fonctionnent pas au mieux. Prenons l'exemple de la sécrétion de l'insuline et admettons qu'il y a, dans un chromosome, deux gènes qui codent pour la sécrétion de l'insuline. Chaque parent donne un de ses gènes. Disons que chez moi, mon père m'en a donné un qui est très bien et ma mère un qui est un peu fatigué. Le résultat de cette adition, chez moi, on appelle ça l'expression, c'est que ça va pas trop mal, grâce à celui de mon père. Le problème, c'est que, dans une même famille, vous avez des chances de retrouver des gènes communs. Si des cousins font un enfant ensemble, il se peut que cet enfant ait reçu, pour l'insuline, exactement le même gène de ces deux parents. Si il reçoit le gène "très bien", genre celui de mon père, c'est gagné, il ne sera jamais diabétique, mais imaginez qu'il reçoive le gène "fatigué", il n'aura pas un gène qui corrige la déficience de l'autre, comme chez moi.
  •  : Principe et utilité du test de grossesse :
    Quand la fécondation se fait, notez que la fécondation n'a pas lieu forcément le jour de l'ovulation, les multiplications cellulaires commencent et le nombre de cellules augmente. L'oeuf est toujours libre, il flotte dans la trompe et se dirige vers la cavité utérine. Quand il a atteint la cavité, le nombre de cellules a considérablement augmenté. Il va se creuser en son centre, un des pôle devient plus dense. Il va donc s'alourdir, en quelque sorte. Ce pôle "lourd" va prendre contact avec la muqueuse, le "sol" de la cavité utérine et l'oeuf va se "poser". Il va se nider là et les cellules de la superficie de ce pôle "lourd" vont commencer à sécréter une substance hormonale semblable à celle qui a déclenché l'ovulation et dont le but est de maintenir les sécrétions ovariennes pour qu'il n'y ai pas de règles. S'il y avait des règles, l'oeuf serait balayé. Il s'agit de la substance que l'on dose pour savoir si vous êtes enceinte. Vous comprenez donc qu'il n'y a pas de grossesse s'il n'y a pas cette substance dans votre sang. Vous comprenez aussi que cette substance commence à être détectable dans le sang, mais à des quantités infimes, avant même le retard de règles. Plus précisément, le taux, en dehors de la grossesse, est inférieur à 8 unités internationales/l. On considère qu'un test est positif à partir de 25 UI. On peut dire que, à partir du 6 ième jour après la fécondation (qui n'est pas forcément le jour du câlin, ni celui de l'ovulation) le taux de 8 ui/l est dépassé. Il doublera, chaque deux à trois jours pendant le premier trimestre. Ca, c'est la réponse scientifique, froide, technique. Pour ce qui est de l'utile, du concret, attendez au moins 14 jours après le câlin pour faire un test, sinon, il ne sera pas significativement rassurant et vous devrez le refaire.
  •  : Anti inflammatoires et grossesse :
    Quels sont les risques ? La fonction rénale foetale peut être perturbée, entraînant une diminution du liquide amniotique, dont vous savez peut être qu'il provient en grande partie de l'urine émise par le bébé. D'autre part, il y a risque de fermeture prématurée du canal artériel. Qu'est ce que c'est ça ? C'est un canal qui relie l'aorte, la plus grosse artère qui sort du coeur pour aller livrer le sang aux organes, à l'artère pulmonaire, la grosse artère qui sort de la partie droite du coeur et mène le sang vers le poumon où le sang s'oxygène. Chez le foetus, le poumon n'oxygène pas le sang puisqu'il ne respire pas encore. Les pressions sont très fortes au niveau des artères du poumon pour décourager le sang d'y venir. Quand donc le sang va vers le poumon, il y a résistance. Il prend alors un itinéraire de délestage, le canal artériel, qui le mène à l'aorte, où il peut s'écouler sans problème. Les anti-inflammatoires contribuent à fermer ce canal et donc à empêcher le délestage, donc problème d'hypertension artérielle pulmonaire foetale. On craint aussi un allongement de temps de saignement chez la mère et l'enfant. Cela risque donc de compliquer le déroulement de l'accouchement.
  •  : Rôle de la contraception sur la fertilité :
    La contraception est proposée comme un moyen de réguler les naissances or souvent elle est présentée et perçue comme un moyen de les programmer. Les couples qui adoptent la pilule comme moyen de contraception interrompent son utilisation quand ils sont désireux d'entamer une grossesse. Ils sont souvent impatients de voir celle ci survenir. Quelles conséquences, quelles influences la prise, souvent longue, de cette contraception a-t-elle sur les grossesses qui suivent Le délai de survenue d'une grossesse après arrêt de la pilule est un peu plus long qu'après l'interruption d'un autre moyen de contraception tel le stérilet ou les préservatifs. Il est en moyenne de six mois contre trois mois. On a craint un moment qu'il y ait plus de fausses couches spontanées de ces grossesses post-pilule. On arguait du fait que la pilule modifiait quelques propriétés de la muqueuse utérine sur laquelle vient se nider l'oeuf. Là non plus, il ne semble pas que le pourcentage des fausses couches soit différent. Au contraire, trois études ont retrouvé une diminution des interruptions de grossesse dues aux anomalies chromosomiques chez les utilisatrices de pilule. En conclusion, il n'y a aucune nécessité de faire interrompre la pilule quelques cycles avant le désir d 'entreprendre une grossesse. Une petite précaution néanmoins qui concerne les grossesses survenues immédiatement après l'arrêt de la pilule : la nécessité de contrôler plus précisément à l'échographie la date de la conception. P.S. Attention, la contraception en général et la pilule en particulier sont destinées à retarder la survenue d'une grossesse. L'âge maternel de la conception est un facteur qui influe dans le sens péjoratif sur la fertilité et le risque d'avortement spontané mais ceci est une autre histoire. tiré d'une publication


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